9 Juillet 2014
Chaque matin est une page blanche, un recommencement, une renaissance. Noter les infinies perspectives qu'offre cette prise de conscience.
Si, intérieurement nous ne sommes pas en plénitude, éternel insatisfait exigeant toujours plus, comment imaginer être heureux ? Il manquera toujours une pierre à l'édifice. le bonheur ne peut être soumis aux aléas matériels. Il doit être libre de tout désir.
Le bonheur passe par la prise de conscience de notre potentiel intérieur. Il est toujours temps de progresser, de se corriger, de s'enrichir. Car rien n'est jamais perdu ni définitif.
La vie n'est qu'une suite de commencements, indéfinis dans le temps. Et le deuxième, le troisième, le centième recommencement, et le cent millionième renvoient au premier et au seul commencement : celui où le tout se dégage du néant. "Presque rien sur presque tout" de Jean d' Ormesson